"Territoires Dystopiques "
Dessin au stylo à encre à micro pigment sur papier Barbizon, 70 x 100cm, 2019
Claire Sauvaget
Dessin au stylo à encre à micro pigment sur papier Barbizon, 70 x 100cm, 2019
Claire Sauvaget
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Territoire Dystopique #1
Le premier dessin présente une ville moderne tête en bas enlassée par une matière noire à l’apparence visqueuse pouvant évoquer le pétrole ou une matière chimique, d’où se dresse un hexagone tel un trou béant. Ce motif géométrique revient à de multiples reprises dans le travail de Claire Sauvaget comme un élément architectural évoquant à la fois les alvéoles d’abeilles ou un système de dallage de notre architecture moderne. L’hexagone est pour elle le symbole de la construction. Ici, en le plaçant au centre de la composition, il devient l’expression d’un malaise : Représenterait-il une bouche d’évacuation de déchet ?
Territoire Dystopique #2
Voici ici la perspective symétrique de barres d’immeubles répétées jusqu’à l’horizon infini d’où des rayons tracent des lignes de fuite. Dans le ciel, deux mains s’emparent de la ville ou de ce qu’il en reste pendant que des gouttes s’alignent comme des escadrilles de manière symétrique. Il faut fuir cette architecture
cauchemardesque, ce territoire désolé, inhabité, avalé progressivement par une force silencieuse, bien plus grande encore.
Territoire Dystopique #3
L’hexagone revient en force dans cette composition dans laquelle il s’accumule, s’empile, se répète, se déforme... Si on peut y voir clairement des alvéoles d’abeilles, le motif est pourtant parti d’un dessin simplifié de petite maison. Il est donc intéressant de constater cette double lecture entre architecture humaine et architecture animale, tour de babel qui ondule jusqu’aux cieux.
Le premier dessin présente une ville moderne tête en bas enlassée par une matière noire à l’apparence visqueuse pouvant évoquer le pétrole ou une matière chimique, d’où se dresse un hexagone tel un trou béant. Ce motif géométrique revient à de multiples reprises dans le travail de Claire Sauvaget comme un élément architectural évoquant à la fois les alvéoles d’abeilles ou un système de dallage de notre architecture moderne. L’hexagone est pour elle le symbole de la construction. Ici, en le plaçant au centre de la composition, il devient l’expression d’un malaise : Représenterait-il une bouche d’évacuation de déchet ?
Territoire Dystopique #2
Voici ici la perspective symétrique de barres d’immeubles répétées jusqu’à l’horizon infini d’où des rayons tracent des lignes de fuite. Dans le ciel, deux mains s’emparent de la ville ou de ce qu’il en reste pendant que des gouttes s’alignent comme des escadrilles de manière symétrique. Il faut fuir cette architecture
cauchemardesque, ce territoire désolé, inhabité, avalé progressivement par une force silencieuse, bien plus grande encore.
Territoire Dystopique #3
L’hexagone revient en force dans cette composition dans laquelle il s’accumule, s’empile, se répète, se déforme... Si on peut y voir clairement des alvéoles d’abeilles, le motif est pourtant parti d’un dessin simplifié de petite maison. Il est donc intéressant de constater cette double lecture entre architecture humaine et architecture animale, tour de babel qui ondule jusqu’aux cieux.